"Deux ans de prison ferme pour Drareni. Nous allons faire un pourvoi en cassation", a déclaré à l'AFP Me Bouchachi.
"Son maintien en détention est la preuve d’un enfermement du régime dans une logique de répression absurde, injuste et violente", a réagi Christophe Deloire, le secrétaire général de Reporters sans Frontières (RSF), dont Khaled Drareni est le correspondant en Algérie.