Entre le président rwandais et les religieux de son pays, le courant ne passe pas depuis que Paul Kagame a décidé de réduire le nombre de lieux de culte dans son pays.
Selon les médias rwandais, l’homme fort du Rwanda aurait fermé plus de 6.000 églises et une centaine de mosquées dans son pays.
Ces fermetures sont motivées par le fait que le pays compte un nombre pléthorique de lieux de cultes. Rien qu’au niveau de la capitale Kigali, on recense quelques 700 églises.
Pour Kagamé, son pays n’a pas besoin autant de lieux de cultes. «Je ne pense pas que nous ayons autant de forages. Avons-nous même autant d’usines? Cela est un gâchis», a-t-il fait remarquer.
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Entre le président rwandais et les religieux de son pays, le courant ne passe pas depuis que Paul Kagame a décidé de réduire le nombre de lieux de culte dans son pays.
Selon les médias rwandais, l’homme fort du Rwanda aurait fermé plus de 6.000 églises et une centaine de mosquées dans son pays.
Ces fermetures sont motivées par le fait que le pays compte un nombre pléthorique de lieux de cultes. Rien qu’au niveau de la capitale Kigali, on recense quelques 700 églises.
Pour Kagamé, son pays n’a pas besoin autant de lieux de cultes. «Je ne pense pas que nous ayons autant de forages. Avons-nous même autant d’usines? Cela est un gâchis», a-t-il fait remarquer.
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Cette décision est loin de faire l’unanimité. Ainsi, pour Monseigneur Innocent Nzeyimana, président du Forum des églises du district de Nyarugenge, les autorités doivent laisser les églises ouvertes et les aider à enrayer les risques d’insécurité.
D’autres expliquent cette décision par le désamour du président Kagame vis-à-vis de l’Eglise en raison du rôle joué par certains responsables religieux lors du génocide de 1994.