Incitation à la violence, appropriation de terres, pillage et attaques à motivation ethnique, sont les accusations attribuées aux suspects, a indiqué Addisu Arega, porte-parole par intérim de l'Oromo, dans une déclaration cité par des médias étatiques.
Selon le Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations unies (Ocha), plus de 800.000 personnes ont fui les violences, durant le seul mois de juin dernier, au long de la frontière entre les régions Oromo et Somali, dans le sud-est de l'Ethiopie.