Sans aucun ménagement, le parti a qualifié le pouvoir d’Abidjan de «dérive autoritaire» qui «menace la paix sociale». En effet, le PDCI pointe du doigt «une précipitation» et «une violation de la législation» alors que les élections municipales sont prévues en octobre prochain, dans 3 mois.
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Akossi Bendjo est le second élu du parti à être évincé, après l’ex-ministre Jean-Louis Billon, autre figure des «anti-RHDP», démis de ses fonctions de président du conseil général du Hambol (au centre du pays) par le gouvernement en juillet 2017.