Lire aussi : Nigéria. Immigration: esclaves et prostituées, elles doivent jusqu'à 50.000 euros
L'enquête en Guinée va cependant être un peu difficile. Puisqu'il faudra d'abord chercher à connaître le nom de la jeune fille. En plus, la police australienne a du mal à retrouver l'homme en raison des informations insuffisantes mises à sa disposition par la victime qui a du mal à s'exprimer en anglais, mais aussi à reconnaitre le quartier dans lequel elle a été retenue, puis violée, avant de réussir à s'échapper le 27 avril dernier.
Le 23/05/2017 à 15h00