La réparation des engins à deux roues constitue une occupation majeure pour de nombreux jeunes maliens qui ont abandonné leurs études très tôt.
Ils trouvent leurs comptes grâce notamment à l’abondance de motos dans la capitale malienne. Un marché inondé par diverses marques de motos: Djakarta, Rato, Sanily, etc. Les vieilles Vespa ont tendance à disparaître de la circulation alors que d’autres nouvelles marques apparaissent.
Seulement, la réparation de ces nouvelles marques pose des difficultés aux réparateurs. Ceux-ci craignent que les nouvelles technologies en changent la donne et rendent leur métier obsolète. D’où l’impérieuse nécessité d’adaptation des réparateurs de motos maliens.