Sur ce montant, 45 milliards de dollars devront provenir de l'Association Internationale de Développement (AID), une agence relevant de la Banque qui accorde des dons et des crédits à taux zéro aux pays les plus pauvres.
Par ailleurs, huit milliards de ces fonds proviendront de financements privés par le biais de la Société financière internationale (IFC), alors que quatre milliards proviendront de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD).
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"Cela représente une occasion unique de modifier la trajectoire du développement en Afrique subsaharienne. Avec ces engagements, nous allons pouvoir travailler avec nos clients pour significativement développer les programmes en faveur de l'éducation, des services de santé de base, de la propreté de l'eau et de son traitement, de l'agriculture, du climat des affaires, des infrastructures et des réformes institutionnelles", a déclaré le président de la banque, Jim Yong Kim, dans un communiqué.
Selon le communiqué, le renforcement des financements de l'AID va notamment servir à finaliser la mise en œuvre de 448 projets déjà en cours en Afrique subsaharienne, région qui représente à elle seule plus de la moitié des pays éligibles aux financements de l’institution financière.