La question divise les défenseurs des droits humains. Ceux qui lui sont favorables estiment qu’il privilégie le droit à la vie en cherchant à combattre le virus, décision incompatible avec la liberté totale.
Mais, cet argument est rejeté par beaucoup d'experts et de membres de la société civile qui pensent que la mesure dont l’efficacité est à prouver viole la Constitution. De plus, ils soupçonnent le chef de l'Eat d'avoir une autre idée en tête que le seul objectif de sauver des vies.