On savait l'Algérie importatrice de presque tous ses biens de consommation, mais on ne se doutait pas que le pays manquait cruellement de compétences en matière religieuse. Pour pallier la pénurie d'imams, le gouvernement va faire appel à des spécialistes originaires d'Arabie Saoudite, du Yémen, d'Égypte voire de Bahrein pour former les imams de la future grande mosquée d'Alger.
Lire aussi : Mosquée d'Alger: le gouffre financier pourrait engloutir 2 milliards de dollars de plus
Lire aussi : la presse locale