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En 2016, l'Assemblée nationale a voté la loi portant sur le statut de chef de file de l'opposition après que l'institution constitutionnelle a longuement demeuré sur papier sans exister dans la pratique. Pour l'instant, elle se résume à la personne de Cellou Dalein. Car, elle n'a encore ni siège, ni cabinet, ni secrétariat comme prévu par la loi. «C'est la raison du problème. Pour l'instant, cette somme ne peut profiter qu'à Cellou Dalein seul», estime François Bourouno.