Cette rencontre a été organisée par la Banque Centrale de Mauritanie (BCM) et l’Institut Africain pour les transferts de fonds (AIR). Elle a enregistré la participation de plusieurs dizaines d’acteurs: cadres des banques centrales et acteurs des agences de transfert de fonds.
Amadou Cissé, directeur de l’AIR, a mis l’accent sur les aspects multiples des opérations d’envoi de fonds sur les plans technique, juridique, réglementaire, et surtout dans leur réalisation matérielle à la demande de femmes et d'hommes, qui travaillent dur, subviennent aux besoins de plusieurs millions de familles, contribuent au développement des communautés et des Etats, des personnes auxquelles il faut offrir un cadre approprié pour cette activité.
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Moussa Mouftah El Kheir Eba, directeur des affaires juridiques et du contentieux à la Banque Centrale de Mauritanie (BCM), a quant à lui évoqué l’importance de cette rencontre de Nouakchott, des sujets abordés, des politiques mises en œuvre par les autorités mauritaniennes pour la régulation du marché des transferts et de l’importance de la coopération dans ce domaine.
Par ailleurs, la nécessité d’une grande vigilance dans la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme a également été au centre de cet atelier dans la capitale mauritanienne.