A travers cette initiative, les autorités ghanéennes ambitionnent ainsi de stimuler la croissance à long terme et de créer des emplois durables, ont rapporté des médias.
Les projets programmés touchent des secteurs clés, tels que les routes et les transports, la production d’énergie et d’électricité, les infrastructures numériques et le développement urbain et rural.
Pour le vice-ministre des Finances, Thomas Ampem Nyarko, «il ne s’agit pas d’un coup de pouce ou d’une simple action de réhabilitation ou de remise en état, mais d’une réinitialisation économique pour le développement des infrastructures».
L’initiative «Big Push» représente l’un des plans d’investissement en infrastructures les plus intégrés de l’histoire récente du Ghana, avec à la clé une panoplie de chantiers et projets portant notamment sur la construction et la réhabilitation des routes et les infrastructures essentielles à travers le pays.