En Afrique du Sud, une fois que les biosimilaires sont enregistrés auprès de l'Autorité sud-africaine de réglementation des produits de santé (SAHPRA), l'accès reste limité à une minorité de la population.
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En raison de la forte pression sur les prix, les biocopies (dont le prix est inférieur de 50 à 60 % à celui des biosimilaires) resteront inscrites sur les listes de médicaments des hôpitaux.
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Les cadres réglementaires égyptiens ne font pas de différence entre les biosimilaires et les biocopies. Cela signifie qu'en raison des lois sur la propriété intellectuelle, les biocopies peuvent souvent être introduites sur le marché plus tôt.
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Au Maroc, les processus d'enregistrement des biosimilaires et des biocopies ne sont pas différenciés, ce qui permet aux biocopies d'entrer sur le marché, car elles sont considérées comme égales, souligne le rapport de Act4Biosimilars.
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Le mercredi 27 mars 2024, la Fondation Mohammed VI et le laboratoire pharmaceutique Sothema ont signé une convention de partenariat pour améliorer l'accès aux soins au Maroc via la production locale de génériques et biosimilaires. Un partenariat prometteur visant à renforcer la recherche nationale et l'écosystème de santé marocain.
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