Pouvoirs de vote des pays membres non-régionaux de la BAD à la date du 30 avril 2025.
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BAD: pouvoirs de vote des pays africains à la date du 30 avril 2025.
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Sidi ould Tah (Mauritanie): 61 ans, titulaire d’un doctorat en économie de l’université de Nice Sophia Antipolis (France). Précédemment directeur général de la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (Badea) depuis juin 2015.
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Samuel Munzele Maimbo (Zambie): titulaire d’un doctorat en administration publique (secteur bancaire) de l’université de Manchester, d’un MBA en finances de l’université de Nottingham, d’un Fello Chartered Certified Accountant (FCCA) obtenu au Royaume-Uni. Précédemment vice-président du budget, de l’examen des performances et de la planification stratégique au sein de la Banque mondiale
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Mahamat Abaas Tolli (Tchad): 52 ans, diplômé de l’École nationale d’administration (ENA) de Paris et de l’Université de Québec. Précédemment gouverneur de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac) et ancien président de la Banque de développement des États de l’Afrique centrale (BDEAC).
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Bajabulile Swazi Tshabalala (Afrique du Sud): 58 ans, titulaire d’une licence en économie de l’Université Lawrence (1989) et d’un MBA de l’Université Wake Forest (1992) aux Etats-Unis. Elle occupait le poste de vice-président principale de la BAD.
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Amadou Hott (Sénégal), 52 ans, est diplômé de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne et de l’Université de New York. Ancien Vice-président de la BAD et précédemment ancien envoyé spécial du président de l'institution chargé de l’Alliance pour l’infrastructure verte en Afrique .
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