Il s’agit des cultures de noix de cajou, de noix de coco, du palmier à huile, de caoutchouc, du mangue et du karité, qui constituent une source majeure de recettes pour l’économie ghanéenne aux côtés de la culture du cacao, dans le cadre de la Vision 2030 de la TCDA (Tree Crops Development Authority), souligne la même source.
«Nous prévoyons des recettes annuelles moyennes de deux milliards de dollars pour chacune de ces cultures arboricoles, soit environ 12 milliards de dollars au total», a indiqué le directeur général de la TCDA, Andy Osei Okrah, cité par l’Agence de presse ghanéenne (GNA).
« Avec les investissements nécessaires, nous pouvons même aller au-delà de cet objectif», a-t-il estimé.
La stratégie adoptée par l’autorité repose essentiellement sur l’augmentation des superficies arboricoles, l’amélioration des rendements et le renforcement des chaînes de valeur, tout en veillant à ce que les agriculteurs adoptent les meilleures pratiques, a-t-il expliqué.
Créée en 2019, la TCDA s’assigne pour missions la réglementation et la promotion de la production, la transformation et la commercialisation de la noix de cajou, du karité, de la mangue, de la noix de coco, du caoutchouc et du palmier à huile.
Elle oeuvre en vue de transformer ces cultures en sources majeures de devises étrangères, de diversifier les exportations agricoles et de contribuer à la création d’emplois, à l’industrialisation et au développement rural.