
Un ouvrier en tenue de plongée se prépare à placer des blocs de ciment pour empêcher la montée des eaux près de la corniche d'Alexandrie, en Égypte, le 8 août 2019. Les pays comme l'Égypte, le Soudan, l'Érythrée, Djibouti et la Somalie sont en première ligne, avec une hausse de 4,1 mm par an. Les villes balnéaires égyptiennes et les zones agricoles du delta du Nil sont particulièrement menacées.
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Vue aérienne de Bargny, au Sénégal, où les habitants ont vu la mer éroder plus de 200 mètres de côte ces vingt dernières années.
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Le village côtier kenyan de Kipini. Il se trouvait à environ 100 mètres (330 pieds) des magnifiques eaux de l'océan Indien. Les côtes de la Somalie, du Kenya, de la Tanzanie, du Mozambique, de Madagascar et de Maurice enregistrent une hausse de 4 mm/an, impactant la pêche et le tourisme.
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Situé dans le Sud-est de la Côte d’Ivoire, le village de Lahou Kpanda se retrouve les pieds dans l’eau, notamment son cimetière, du fait de l’érosion côtière. A l’instar de la Côte d’Ivoire, des pays comme le Nigéria, l’Angola, la RDC, le Congo Brazzaville, le Gabon, la Guinée équatoriale, le Cameroun, ou le Ghana font face à une élévation de 3,7 mm/an du niveau de la mer, mettant en péril de nombreuses infrastructures.
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Photo de la ville portuaire de Derna en Lybie. Les pays comme le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, la Lybie, bien que moins touchés (3,6 mm/an en Atlantique et 3 mm/an en Méditerranée), doivent également faire face à des défis d'érosion côtière et de salinisation des sols.
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