La ministre de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille, Diarra Djènèba Sanogo a procédé, jeudi 20 novembre 2025, au lancement des activités de la 7e édition du salon de l’entrepreneuriat féminin, (FEMINIA) au centre international des conférences de Bamako.
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Le thème retenu pour cette année est «collaborer pour réussir, alliances stratégiques et entrepreneuriat féminin". Environ 200 participants venus du Mali et d’ailleurs prennent party à ce salon.
La présidente du salon indique que, «cette 7e édition du FEMINIA les invite à réfléchir sur les synergies à créer entre femmes entrepreneures, institutions, partenaires et territoire pour bâtir un avenir économique inclusif et durable». Elle précise que «cette année FEMINIA reçoit les participantes venues du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire et du Ghana, preuve que du rayonnement régional du salon».
La ministre en charge de la promotion de la femme dira que «dans un monde en perpétuel mutation où les défis économique, sociaux et environnementaux deviennent complexe, qu’il est impératif de repenser les modèles de développement».
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Selon Diarra Djènèba Sanogo, «l’entrepreneuriat féminin lorsqu’il est soutenu par des alliances stratégiques solides, devient un levier puissant de transformation sociale et économique. Les femmes entrepreneurs en conjuguant leurs talents, leurs ressources et leurs visions peuvent non seulement renforcer leurs entreprises mais aussi impacter durablement leur communauté».
Ngangha Lucie Kingue, venue du Burkina Faso, estime que «ce salon est une opportunité pour moi d’exposer du textile africain travaillé et raffiné sous différentes formes comme le Faso Dan Fani et beaucoup d’autres articles qui émerveillent les visiteurs».
Fanta Paréso, exposante malienne qui est à sa première participation à FEMINIA, elle estime que c’est une belle initiative qui lui a permis de nouer beaucoup de relations d’affaires.
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Enfin, Moulaye Boubacar Dembélé, un visiteur dira «qu’il ne suffit pas de faire un salon pour les femmes ou des panels mais qu’il est temps de penser à un fonds d’appui aux femmes qui ont des petits stands pour les aider à s’épanouir».
