Cameroun
Un tiers n’a pas d’existence légale: le Cameroun vit toujours avec ses enfants fantômes
Des parents qui n’inscrivent pas leurs enfants à la naissance, ou ne récupèrent pas le document de l’état civil ou tout simplement le perdent, n’accordant à ce papier que peu d’intérêt. Les liens du sang, dit-on, ont plus de valeur. Cependant, les conséquences sur ces enfants sont terribles. Un enfant sur trois n’a pas d’existence légale: il lui sera difficile d’accéder aux services de santé, à l’école, aux concours scolaires...
28.11.2025 - 14:43





