Aux côtés de Sissi, les présidents du Rwanda Paul Kagame et d'Afrique du Sud Cyril Ramaphosa, membres de la "troïka" sur la Libye, ainsi que celui du Congo, Denis Sassou-Nguesso, chef de la commission sur la Libye à l'UA, ont appelé "toutes les parties à la retenue" et à permettre "l'arrivée de l'aide humanitaire".
Les dirigeants ont insisté sur le "rôle fondamental et crucial de l’UA et de ses Etats membres dans la gestion de la crise actuelle en Libye", réclamant à l’émissaire de l’ONU, Ghassan Salamé, "une coopération totale et en toute transparence".
Ils ont également appelé la communauté internationale à "prendre ses responsabilité" dans la lutte contre le "trafic d’armes" et l’incursion de "combattants terroristes", tout en évitant les "ingérences extérieures".