M. Machar, vêtu d’un costume, d’une chemise blanche et d’une cravate bleue, s’est levé de sa chaise et s’est emparé d’un micro pour décliner son nom, comme ses co-accusés abrités avec lui derrière d’épais barreaux. L’un de ses avocats a dénoncé une «cour incompétente, qui n’a pas d’autorité».
Il leur est reproché d’avoir participé à la coordination d’une attaque contre une base militaire par l’«Armée blanche», une milice accusée par le pouvoir de collaborer avec lui. Son inculpation alimente les craintes d’un nouveau conflit, près de sept ans après la fin d’une guerre sanglante entre ses partisans et ceux du président Salva Kiir, qui avait fait quelque 400.000 morts entre 2013 et 2018.
Par Le360 Afrique (avec AFP)
Le 22/09/2025 à 07h55
