La majorité des 37 accusés de ce procès dénoncé comme ayant «des motivations politiques» par des ONG sont détenus depuis 2023 et poursuivis pour «complot contre la sûreté» de l’Etat et «adhésion à un groupe terroriste».
Les plus connus sont le chef de la principale coalition d’opposition FSN, Jawhar Ben Mbarek, les dirigeants de partis Issam Chebbi et Ghazi Chaouachi, les politiciens Khayam Turki et Ridha Belhaj et l’homme d’affaires Kamel Ltaief.


