Cette rencontre a pour objectif de comprendre le mécanisme de diffusion des alertes, de discuter et d’évaluer la stratégie de communication liés au climat, à l’eau et aux évènements météorologiques générés à partir de la plateforme de prévision et d’alertes précoces myDewetra-Voltalarm et à travers d’autres produits de surveillance et de prévision nationaux et régionaux.
L’atelier du 7 mai vise, en outre, à renforcer et de développer des canaux et des procédures adéquates de diffusion d’alertes pour le «last mile» et d’augmenter les capacités nécessaires des individus, des institutions et des communautés impliquées à faire face aux alertes.
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Les spécialistes estiment que c’est une année humide à moyennement humide sur l’ensemble du territoire du Mali. Le niveau des emblavures doit être assez élevé. Par ailleurs, la responsable adjointe par intérim a invité les populations rurales à éviter d’ensemencer les zones basses et de ne pas mettre en place des cultures qui «n’aiment pas avoir les pieds dans l’eau», telles que le maïs. elle a aussi exhorté les producteurs à se préparer pour une campagne réussie.
Globalement, l’agence Mali Météo promet que la campagne sera normale à excédentaire, les périodes de sécheresse seront courtes. Au cours de cet atelier, outre la présentation du dispositif d’alerte précoce, il a été procédé à la séparation de l’hydrogène du molécule d’eau innové par le centre robotique du Mali.