«La Côte d’Ivoire est vulnérable face au changement climatique. La hausse des températures, la perturbation des régimes de précipitations, les inondations, l’élévation du niveau de la mer et l’érosion du littoral constituent autant de problèmes majeurs qui mettent fréquemment en péril la réalisation d’une croissance économique résiliente, durable et inclusive», indique le FMI dans un communiqué.
Cet accord accompagnera les réformes mises en œuvre par les autorités ivoiriennes pour améliorer l’adaptation au changement climatique et l’atténuation de ses effets, en particulier dans les domaines de l’agriculture, du transport, des infrastructures et de la gestion des finances publiques, ajoute l’institution financière internationale basée à Washington.
Selon le président par intérim et directeur général adjoint du FMI, Kenji Okamura, «la mise en œuvre des réformes dans le cadre de la FRD devrait améliorer la résilience de la Côte d’Ivoire au changement climatique à moyen terme, remplacer des financements plus coûteux, constituer des marges contre les chocs climatiques et les besoins prospectifs de la balance des paiements qui en découlent».