Vidéo. Les Marocains d'Afrique: Yassir Ben Moumen, atterrissage réussi en Nouakchott

VidéoAtterrissage réussi pour le représentant de la Royal air Maroc en Mauritanie. Yassir Ben Moumen, qui vit à Nouakchott depuis 2 ans, évoque sa parfaite intégration sur le plan professionnel, humain et social dans son pays d'accueil.

Le 08/10/2017 à 16h10, mis à jour le 08/10/2017 à 19h36

Dans cette vidéo, Yassir Ben Moumen, représentant de la Royale Air Maroc (RAM) à Nouakchott depuis 2 ans, parle de son intégration réussie en Mauritanie.

Il évoque d’abord la dimension professionnelle de celle-ci, notamment à travers les rapports avec le personnel de la RAM, dont les membres sont dévoués à la tâche avec toute l’énergie déployée pour la bonne marche du service.

Mais aussi les excellents rapports avec les animateurs de tous les services au niveau de l’aéroport de Nouakchott, qui contribuent au bon déroulement au quotidien des activités de la compagnie.

Il insiste sur la nature des relations particulièrement huilées avec les responsables des agences de voyage, ces précieux partenaires qui participent grandement à la fidélisation de la clientèle.

Mais au-delà de son intégration sur le plan professionnel, Ben Moumene, cet originaire de Meknès, qui compte une vingtaine d’années au service de la RAM, et dont la Mauritanie est cependant la première expatriation, aborde avec enthousiasme l’aspect portant sur son intégration humaine et sociale au sein d’un pays et d’une société très proche du Maroc à plusieurs titres.

Illustration, avec ce copieux repas, «le thiébou djeune», -plat de riz au poisson particulièrement prisé des sénégalais et des mauritaniens- servi à son domicile de l’immeuble BMCI, grâce aux services et au savoir-faire d’une jeune employée originaire de la ville sénégalaise de Saint-Louis.

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Parlant de l’ouverture et de la qualité d’accueil de la société mauritanienne, le cadre de la RAM évoque l’épisode d’une visite à Nouakchott de sa sœur.

Dépaysée et pleurant à chaudes larmes le jour de son arrivée, parce qu’elle avait le mal du pays, elle s’adapte rapidement les jours suivants, pour passer finalement six mois en Mauritanie. «C’est la preuve qu’il fait bon de vivre ici».

Par Cheikh Sidya (Nouakchott, correspondance)
Le 08/10/2017 à 16h10, mis à jour le 08/10/2017 à 19h36