Cet investissement va donner un nouveau souffle au secteur en permettant de stimuler la production d'hydrocarbures et d’apporter des revenus supplémentaires conséquents aux caisses publiques, a précisé Akorli, cité mardi par la presse locale.
Selon le responsable, le Ghana connaîtra, au cours des prochaines années, une augmentation de la production de pétrole et de gaz et une demande accrue des biens et de services de la part des opérateurs.
"Avec la tendance actuelle et le travail opérationnel prévu par le gouvernement, on s'attend à ce que davantage de champs de production soient mis en service dans les eaux peu profondes et les eaux profondes au large du Ghana", a estimé Akorli.
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De son côté, le ministre de l'Energie, Boakye Agyarko a affirmé que le Ghana est ouvert à l'investissement et cherche des partenariats mutuellement bénéfiques et durables dans son industrie naissante, soulignant la détermination du gouvernement à soutenir les investisseurs désireux de faire des affaires dans le secteur.
Le Ghana qui est le neuvième producteur africain de pétrole, extrait chaque jour 152.000 barils. Selon Ecobank, compte tenu du rythme des investissements, le pays pourrait faire son entrée dans le Top 5 africain d’ici 2020.