Un phénomène qui remet en cause le travail des conducteurs de moto-taxi. Ces derniers expriment leur déception face à la confusion faite actuellement entre les voleurs spécialistes de «pustura» et eux-mêmes.
Ils rejettent surtout la responsabilité sur les autorités de la ville pour avoir donné les documents et plaques d’immatriculation sans avoir procédé à l’identification des bénéficiaires.
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A l'heure actuelle, le pustura est très répandue au sein de la capitale congolaise. A l'inspection provinciale de la police nationale de s'impliquer pour éradiquer ce phénomène qui ne fait que prendre de l'ampleur.