Ce financement émane de l’Association internationale de développement (IDA), qui a accordé un prêt de 150 millions de dollars, et le Mécanisme de financement mondial (GFF), qui contribue à hauteur de 17 millions de dollars sous forme de don.
Selon la Banque mondiale, ces fonds permettront d’améliorer la qualité des soins, notamment pour les femmes, les enfants et les adolescents.Représentant de la Banque mondiale au Burkina Faso, Hamoud Abdel Wedoud Kamil a déclaré que ce projet s’inscrit dans les priorités du développement humain et appuie les efforts du gouvernement burkinabè pour une santé plus résiliente.
De son côté, la responsable du GFF, Luc Laviolette a souligné l’importance de cet investissement pour garantir un avenir plus prospère aux populations vulnérables.
Ce programme vise également à améliorer la surveillance des maladies, l’accès aux services de nutrition et la capacité de réponse aux urgences sanitaires.
Selon le responsable du portefeuille santé à la Banque mondiale, Moussa Dieng, cette initiative arrive à un moment crucial pour le pays et favorisera la gouvernance, l’équité et le financement durable du secteur.