
Conséquences directes : renchérissement des billets, réduction de la demande et entrave à l’intégration régionale... Plusieurs destinations africaines perdent ainsi des milliards de dollars de recettes touristiques potentielles.
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L’Afrique de l’Ouest (109,49 dollars) et centrale (106,62) imposent les taxes aériennes internationales les plus élevées. À l’inverse de l’Afrique du Nord (25,27).
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L'écueil majeur est que, dans de nombreux pays, ces taxes comblent avant tout des déficits budgétaires plutôt que de couvrir les coûts opérationnels réels.
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LybieAir. Le Gabon et la Sierra Leone écrasent les passagers de charges dépassant 290 dollars, tandis que la Libye ou le Malawi limitent leur impact à moins de 5 dollars.
(DR)Le 25/07/2025 à 14h24