Maçons, cultivateurs, menuisiers, forgerons,..., sont des métiers difficiles en temps normal. Ils le sont davantage durant le mois de ramadan quand il faut combiner la pénibilité de ces métiers aux exigences du jeûne.
Au Mali, la forge est encore une activité exercée avec des moyens rudimentaires, nécessitant la force physique et l’utilisation du charbon de bois.
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Pour les forgerons, outre le fait que le travail demande des efforts physiques, s'ajoutent la chaleur et la soif, qui font parties du quotidien des travailleurs d’une forge. La chaleur de la braise est difficile à supporter et contribue à la déshydratation des corps.
Les forgerons maliens fabriquent surtout des articles utilisées dans l’agricultures (houes, haches, dabas, charrues, semoirs, etc.).