Hier, mardi 2 novembre, à Rabat, les membres de l'Aslem ont donné une conférence pour présenter à la presse le projet de "Caravane des lauréats internationaux sur les traces de la Marche verte", qui partira d'Agadir, le 9 novembre courant, pour aboutir à Dakhla, cinq jours plus tard, après avoir traversé les provinces du Sahara marocain.
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Selon Makan Doucouré, président de l'Aslem, l'objectif est de mettre en exergue l'importance accordée à la formation des compétences africaines grâce à la coopération marocaine avec les autres pays du continent.
Car, faut-il le rappeler, ce ne sont pas moins de 23.000 cadres étrangers que les universités et écoles publiques marocaines ont déjà formés. A cela s'ajoute des dizaines de milliers d'autres qui sont issus des établissements privés.
Ce sont justement ces lauréats qui, en mai 2018, ont décidé de mettre en place l’Association des lauréats étrangers du Maroc (Aslem) qui regroupe des membres de plusieurs nationalités qui sont tous aujourd’hui des acteurs actifs dans la vie politique et économique de leurs pays.
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Certes, l'Aslem est basée à Rabat, mais ses membres sont actifs dans presque tout le continent africain et permettent la réalisation des objectifs assignés à cette organisation, notamment à jouer pleinement son rôle de diplomatie parallèle et renforcer les liens qui unissent le Maroc et ses partenaires du continent.
