Dans son message de revendication, la coalition djihadiste, formée il y a une année sous la férule du Touareg malien Iyad Ag Ghaly, affirme «avoir agi pour venger la mort de plusieurs leaders du mouvement, parmi lesquels le chef de guerre djihadiste Mohamed Hacen Al Ancari», tué récemment dans un raid des éléments de l’opération Barkhane, dispositif de lutte antiterroriste au Sahel.
Ces groupes terroristes sont particulièrement actifs dans le Nord et le centre du Mali.
Il y a deux semaines, la France a annoncé une série d’opérations dans le nord-est du Mali, aux confins frontaliers de l’Algérie, tuant et capturant une vingtaine de djihadistes parmi lesquels d’importants chefs de guerre.
Les attaques d’Ouagadougou ont fait seize morts, dont huit assaillants, et 80 blessés, selon le bilan du gouvernement burkinabè. Des sources sécuritaires relayées par les médias avancent un nombre plus important de victimes.
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