Devant une assistance nombreuse, le candidat dont le slogan de campagne est «le changement, c’est maintenant» dénonce les errements et les turpitudes d’une gouvernance qui a «bafoué les libertés, dressé les composantes nationales les unes contre les autres et pillé les ressources du pays».
D’où l’urgence, pour ce candidat, d’un nouveau contrat social porteur de solutions de sortie de crise, qu'il promet aux Mauritaniens s’ils lui accordent leurs suffrages le jour du scrutin, le 22 juin 2019.