Mauritanie-Maroc: signature d’une convention de partenariat entre les autorités de régulation audiovisuelle

Latifa Akharbach, présidente de la Haute autorité de la communication audiovisuelle du Maroc et Houcine Ould Meddou, président de la Haute autorité de la presse et de l’audiovisuel (HAPA).

Le 17/01/2024 à 17h19

VidéoLa Haute autorité de la presse et de l’audiovisuel en Mauritanie a organisé, mardi 16 janvier, un colloque sous le thème «Les défis de la transformation numérique pour l’économie des médias audiovisuels». Cette rencontre a été animée par Latifa Akharbach, présidente de la Haute autorité de la communication audiovisuelle du Maroc et présidente du Réseau des instances africaines de régulation de la communication, et a débouché sur la signature d’une convention de partenariat entre les deux pays.

Latifa Akharbach, présidente de la Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA) du Maroc, et par ailleurs présidente du Réseau des instances africaines de régulation de la communication (RIARC), a animé, à Nouakchott, devant un parterre de représentants des opérateurs audiovisuels et de responsables de la presse mauritaniens, une conférence sur les défis de la transformation numérique pour l’économie des médias audiovisuels.

Cette conférence a été organisée en marge de la visite de travail, du 15 au 17 janvier, qu’elle effectue en Mauritanie. À cette occasion, une importante convention de partenariat a été signée entre les deux pays, la Mauritanie ayant été représentée par Houcine Ould Meddou, président de la Haute autorité de la presse et de l’audiovisuel (HAPA).

Cette convention prévoit la mise en œuvre d’une série d’actions visant à améliorer les procédures et les outils de régulation en matière notamment de monitoring et de suivi des programmes, de veille professionnelle et de méthodologies d’adaptation de la régulation au nouvel environnement numérique des médias.

Les deux parties ont aussi décidé d’élargir leurs concertations et les échanges d’expérience dans divers domaines tels que la gestion de l’expression pluraliste ou encore la promotion de la diversité culturelle et linguistique dans les médias audiovisuels.

Par Amadou Seck (Nouakchott, correspondance)
Le 17/01/2024 à 17h19