«Le peuple nigérien doit évaluer la gravité de la situation et prendre une décision, et le Tchad n’interviendra jamais militairement au Niger», a déclaré le ministre. Il a appelé, à cet effet, les différentes parties à résoudre le problème «par le biais du dialogue».
Suite au putsch qui a renversé Mohamed Bazoum, le 26 juillet, l’instance régionale (CEDEAO), en plus d’une batterie de mesures contraignantes, n’exclut pas une intervention militaire pour rétablir le président déchu dans ses fonctions.