Débutée le 13 janvier 2024 à Abidjan, la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) est une occasion toute rêvée pour les amateurs de paris sportifs. Matchs, fautes, cartons, hors-jeux et bien plus d’options permettent aux parieurs de faire des gains.
«Depuis le début de la CAN, nous n’avons connu que des surprises. Je n’ai perçu que 1500 fcfa comme gain. Ce n’est pas assez. Tu ne t’attends pas à une équipe et elle crée la surprise comme la Namibie qui a battu l’Afrique du sud. C’est cela aussi le jeu», confie Constant Bambara, un parieur.
Barké, gérant d’un point de paris sportifs, voit venir dans son kiosque un nombre plus important de parieurs. Il effectue pratiquement tous les jours des dépôts d’argent et des retraits de gains.
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«Nous avons commencé à parier il y a deux ans. Je peux vous l’affirmer, avec la CAN, nous recevons pas mal de clients ici. Les dépôts vont de 1 à 2 millions de francs cfa et le retrait des gains est également facile», assure-t-il.
Malgré l’esprit de jeu, les parieurs doivent se méfier de ces plateformes qui prolifèrent. Selon Gildas, parieur depuis 2011, celles-ci peuvent nuire aux utilisateurs.
«Les paris n’empêchent pas de travailler. Même étant au service, l’on peut profiter de ses petits temps libres pour se faire des coupons et miser. Cependant le jeu doit être pratiqué avec modération. Il faut avoir un jeu responsable et pas en être accro», conseille-t-il.
De la Champions league à l’Europa league en passant par la CAN, les parieurs burkinabè font l’expérience. Certains avouent avoir fait de gros gains en fonction des coefficients des paris.
