Le dérèglement climatique, qui devrait faire augmenter la température moyenne de 4,8°C et baisser les précipitations de 36,4 % de la normale actuelle d’ici 2050, fragilise davantage l’agriculture dans un pays à l’extraordinaire diversité des paysages. Même la verdoyante Kindia n’a pu résister aux assauts du soleil.