Chaque année, The Economist Intelligence Unit publie son classement annuel des capitales où il fait bon de vivre dans le monde. Pour cette édition, elle a passé au crible 140 capitales pour établir celles où la qualité de vie est la meilleure.
A côté des meilleures villes où il fait bon de vivre, figurent bien évidemment les capitales qui font office de pires villes où il fait vivre en 2017.
A ce titre, Alger occupe le 134e rang mondial sur 140, ex-aequo avec Karachi, la capitale du Pakistan, avec un des scores les plus bas de seulement 40,9 points. La capitale algérienne ne devançant que 5 capitales dans le monde: Damas (Syrie), Port Moresby (Papouasie-Nouvelle-Guinée), Dacca (Bangladesh), Tripoli (Libye) et Lagos (Nigeria).
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Cette évaluation est basée sur une batterie de plus de 30 indicateurs qualitatifs et quantitatifs regroupés en 5 grandes catégories : «stabilité», «qualité des soins médicaux», «infrastructures», «éducation» et «culture et environnement». Ce dernier critère englobe plusieurs notions dont la corruption, la liberté de presse, les contraintes sociales ou religieuses, etc.
Ces critères sont compilés et pondérés pour donner une note globale variant de 1 à 100 points, où 1 est jugé intolérable et 100 comme un idéal. En dessous de 50 points au classement général, «la plupart des aspects de la vie quotidienne sont fortement limités».
Enfin, il faut souligner que pour les meilleures villes où il fait bon de vivre, c’est Melbourne (Australie) qui arrive en tête avec 97,5 points, devant Vienne (Autriche) et Vancouver (Canada) avec respectivement 97,4 et 97,3 points.