Melania Trump va entamer une tournée dans 4 pays africains

Donald Trump, président des Etats-Unis, et son épouse Melania Trump.

Donald Trump, président des Etats-Unis, et son épouse Melania Trump.. DR

Le 01/10/2018 à 10h35, mis à jour le 01/10/2018 à 10h39

Melania Trump entame ce lundi 1er octobre sa première visite, en tant que première dame des Etats-Unis, dans 4 pays du continent africain. Au menu de ce périple africain, les soins aux nouveaux-nés et l’éducation des enfants.

C’est ce lundi 1er octobre que Melania Trump, la première dame des Etats-Unis, entame sa première tournée africaine qui le mènera dans 4 pays. Cette mini-tournée la mènera au Ghana, au Malawi, au Kenya et en Egypte.

C’est lors d’une réception donnée le 26 septembre dernier au profit des conjoints des Chefs d’Etat et de gouvernement présents lors de l’Assemblée générale de l’ONU que la première dame américaine a annoncé que «le 1er octobre marquera le premier jour de ma visite en solo dans quatre pays d’Afrique magnifiques et très différents: le Ghana, le Malawi, le Kenya et l’Egypte».

Selon la première dame, ces 4 pays avaient travaillé avec l’agence américaine pour le développement (USAID) afin d’aider les enfants.

Avant cette déclaration, le président américain Donald Trump avait lui même fait l’annonce. «Melania va faire un grand voyage en Afrique. Nous aimons tous les deux l’Afrique. L’Afrique est si belle», a t-il souligné. Une manière pour le président américain de se rattraper après son scandaleux «pays de merde».

Rappelons en effet qu'il avait déclaré lors d’une réunion avec les parlementaires américains, «pourquoi est-ce que toutes ces personnes issues de pays de merde viennent ici (Etats-Unis)?». Ainsi, à travers cette tournée, Melania Trump va tenter de redonner une autre image des Etats-Unis.

Au menu de cette tournée qui entre dans le cadre de la campane «Be Best», le bien-être des enfants. Melania Trump a expliqué que ce voyage lui permettra de mettre l’accent sur les soins aux niveau–nés et l’éducation. «Que ce soit pour l’éducation, la dépendance aux drogues, la faim, la sécurité sur Internet, les intimidations, la pauvreté ou les maladies, ce sont trop souvent les enfants qui sont les premières victimes dans le monde», a t-elle souligné.

Par Kofi Gabriel
Le 01/10/2018 à 10h35, mis à jour le 01/10/2018 à 10h39