Détenu depuis sa destitution en avril 2019, M. Béchir est recherché par la CPI, basée à La Haye, avec trois autres personnes, pour ses crimes présumés au Darfour (ouest), durant un conflit meurtrier qui a éclaté en 2003 entre ses forces et des insurgés issus de minorités ethniques s'estimant marginalisés.
"Ceux qui ont été accusés par la CPI doivent y aller", a affirmé Mohamed al-Taayichi, membre du Conseil souverain dans un communiqué.