La fête de fin d’année est certainement une période d’excès et d’insouciance pour la jeunesse. Les Ivoiriens ne dérogent pas à la règle. Les bars, les «maquis», sont pris d’assaut et l’alcool coule à flots dans un pays où «le 31 se prépare depuis le début de l’année».
Les célébrations démarrent le week-end d’avant et connaissent leur apogée le fameux «31» où il est de coutume de passer toute la nuit à danser et à s’ «enjailler» jusqu’au petit matin.
Ben plus, le «31» se prolonge le 1er et le 2, voire au-delà selon les individus.
Le 01/01/2019 à 11h53, mis à jour le 01/01/2019 à 12h03