«Ce sera la seule installation de ce type sur le continent africain», a souligné M. Ruto lors d’un sommet dédié au commerce régional de la Chambre de commerce américaine.
L’investissement de Moderna «sera un catalyseur pour l’industrie médicale et pharmaceutique non seulement au Kenya, mais aussi sur tout notre continent», a souligné le président Ruto.
Dans un communiqué séparé, Moderna a précisé que l’installation ultramoderne produirait jusqu’à 500 millions de doses de vaccins par an, sans toutefois donner de date pour le lancement de la production.
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«Nous espérons apporter l’innovation que représente l’ARN messager aux populations africaines dans des domaines où les besoins sont immenses, comme les infections respiratoires aiguës, ou encore les maladies infectieuses persistantes comme le HIV ou des menaces épidémiques telles que Zika et Ebola», a déclaré le patron de Moderna Stephane Bancel.
La société a précisé qu’elle s’était à ce jour engagée à établir des sites de production basés sur l’ARN messager au Kenya, aux États-Unis, au Canada, en Australier et au Royaume Uni.
Comme d’autres entreprises de biotechnologie produisant des vaccins, Moderna mise beaucoup sur la technologie de l’ARN messager, à la base notamment des vaccins qui se sont avérés les plus efficaces dans la lutte contre la pandémie de Covid-19, pour susciter une meilleure réponse immunitaire.
