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L'Union des radios et télévision libres de Guinée (URTELGUI), une association de patrons de presse, s'est réunie d'urgence ce lundi en vue de répliquer à la décision du président de la République. Ceux-ci estiment que le chef de l'Etat n’a pas l’autorité législative ou morale de fermer une radio privée.
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Dans le cas présent, la HAC (Haute autorité de la communication ) a pris la défense de la presse en rappelant aux autorités que la loi lui confère la prérogative de sanctionner les médias par un avertissement, une mise en demeure, une suspension ou une annulation de la licence d’autorisation.
Le 7 novembre dernier, les journalistes guinéens ont manifesté à Conakry contre les précédents évènements. Mais cette manifestation n'a pas changé les choses. Du moins pour l'instant.