Le respect des droits humains des personnes migrantes et leur accès aux opportunités dans les pays d’implantation sont au cœur des objectifs du Collectif Loujna-Tounkaranké.
Ce projet est en cours d’implémentation dans 8 pays de l’espace CEDEAO –Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest.
Dans ce cadre, les acteurs de la migration ont tenu en début de semaine à Bamako, au Mali, un atelier d’échange avec les décideurs et les membres de la société civile pour évaluer le chemin parcouru en matière de protection des droits des migrants.
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Il est ressorti de ces échanges que les droits des migrants sont respectés conformément aux chartes et conventions internationales. Toutefois, les procédures d’expulsion violent certains droits des migrants.
D’où, des recommandations ayant trait à l’intensification de la campagne de sensibilisation sur le respect des droits des migrants, leur accès aux opportunités, la représentation des migrants à l’Assemblée nationale et la prise en charge des questions migratoires dans les Programmes de développement économique social et culturel (PDESC) du Mali.