Longtemps restée au foyer, la femme malienne s'est nettement émancipée au point d'embrasser des métiers qui étaient jadis réservés aux hommes, parce que trop salissants ou demandant des efforts physiques.
Désormais, elles s’orientent vers la formation professionnelle et deviennent mécanicienne, menuisière, ébéniste, voire soudeuse.
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Pour beaucoup de jeunes filles, intégrer la vie active signifiait souvent travailler au sein de l’administration en tant que fonctionnaire, devenir enseignante ou infirmière... Mais, ces fonctions ne leur sont plus dévolues, puisqu'elles doivent affronter la concurrence de la gent masculine dont les membres exercent à leur tour des métiers auparavant pratiqués par des femmes, comme sage-femme, assistant maternel, etc.
A l’occasion de la célébration de la Journée internationale des femmes, Le360 Afrique est parti à la rencontre de trois jeunes femmes qui entendent bousculer les codes. L'une est mécanicienne, la deuxième camerawoman et la troisième orfèvre.
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Ces trois professionnelles ont montré, grâce à leur engagement, qu’il n’y a pas de métiers spécifiques pour les hommes et qu’avec le courage et la détermination, tout est possible.
