Cet atelier de Nouakchott a permis des échanges d’expériences entre plusieurs dizaines d’intervenants «sur les cadres juridiques et législatifs relatifs à l’autonomisation des femmes et des filles, au dividende démographique» dans les différents Etats.
Ce conclave vise à créer un cadre législatif et juridique pour une application effective des lois en faveur de la promotion de l’autonomisation des femmes et des filles, en lien avec les thématiques principales du projet SWEDD et l'harmonisation des lois dans les pays concernés.
Il s’agit de mobiliser les leaders d’opinion, notamment les religieux, pour aider à sensibiliser sur les pratiques néfastes à la santé des jeunes filles et des femmes: mutilations génitales féminines (MGF) et mariage précoces.
Lire aussi : Vidéo. Mauritanie: 68,1% des femmes victimes de violences basées sur le genre
L’imam Harouna Koné, responsable d’un réseau en Côté d’Ivoire, affirme le rejet par l’Islam, de toutes les pratiques préjudiciables à la santé humaine, et à l’intégrité du corps humain, notamment celui des femmes.
Pour sa part, Khadijttou mint Mohamed Mamy, responsable d’un réseau d’ONG mauritaniennes, a expliqué l’importance de cet atelier de Nouakchott.