Mauritanie: les artistes hip-hop dressent un état des lieux de la musique urbaine en Afrique

VidéoPlus qu’une musique, ou de simples sonorités, le hip-hop, né dans le contexte de l’esclavage et de la contestation aux Etats-Unis, est une véritable culture qui a déferlé en Afrique il y a plus de trois décennies. Des pionniers de ce mouvement témoignent.

Le 27/06/2022 à 12h17, mis à jour le 27/06/2022 à 12h23

Cela fait plus de trois décennies que le hip-hop, musique née de l'esclavage et de la contestation de la communauté afro-américaine aux Etats-Unis, a fait son entrée au niveau du continent africain.

Cet état d’esprit a été parfaitement intégré par les premiers adeptes en Afrique, à l'image de Didier Awadi, véritable icône sur le continent. A ce jour, cette orientation est soutenue par le caractère contestataire du rap, dans un continent confronté à de nombreux problèmes politiques, économiques et sociaux.

A l'occasion de la 15e édition du festival Assalamalekoum, qui se déroule à Nouakchott, trois artistes de ce genre musical livrent un état des lieux des sonorités urbaines dans la sous-région et en Afrique, une trentaine d’années après les premières productions commercialisées issues du genre rap.

Par Amadou Seck (Nouakchott, correspondance)
Le 27/06/2022 à 12h17, mis à jour le 27/06/2022 à 12h23

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