Cela fait plus de trois décennies que le hip-hop, musique née de l'esclavage et de la contestation de la communauté afro-américaine aux Etats-Unis, a fait son entrée au niveau du continent africain.
Cet état d’esprit a été parfaitement intégré par les premiers adeptes en Afrique, à l'image de Didier Awadi, véritable icône sur le continent. A ce jour, cette orientation est soutenue par le caractère contestataire du rap, dans un continent confronté à de nombreux problèmes politiques, économiques et sociaux.
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A l'occasion de la 15e édition du festival Assalamalekoum, qui se déroule à Nouakchott, trois artistes de ce genre musical livrent un état des lieux des sonorités urbaines dans la sous-région et en Afrique, une trentaine d’années après les premières productions commercialisées issues du genre rap.
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