Cette décision, qualifiée de «mesure disciplinaire» dans les textes officiels, concerne plusieurs officiers supérieurs, des capitaines et un sous-officier.
Les mis en cause étaient soupçonnés d’avoir participé à une tentative de renversement des autorités au début du mois d’août dernier, selon des sources sécuritaires.
Les arrestations avaient été effectuées à cette période, principalement parmi les éléments de la Garde nationale, lors d’une opération menée par les services de sécurité.
Depuis 2012, le Mali est confronté à une crise multidimensionnelle marquée par l’insécurité persistante, les tensions politiques et les difficultés économiques.