Pour éviter d’autres cas de noyade, les professionnels demandent aux autorités de mieux sécuriser ces plages interdites en les identifiant et avertir ceux qui les fréquentent. Il s’agit de jeunes vacanciers qui ne savent pas forcément nager et qui s’aventurent loin du rivage, prenant de réels risques.
Malgré les nombreuses campagnes de sensibilisation et la surveillance des plages, il est à craindre que des cas isolés échappent à tout contrôle.
Nombreux sont ceux qui estiment qu’il faudrait ouvrir les plages privatisées, donc autorisées à la baignade, aux jeunes et ne pas en faire un accès réservés à une clientèle privilégiée.