L’Algérien qui voyage à l’étranger a droit à seulement 100 euros en guise de dotation touristique annuelle, soit l’une des plus, si non, la faible au monde. Une situation qui alimente le marché parallèle de change. Et c’est l’unique marché où les voyageurs peuvent se procurer des devises. Les députés souhaitent que le voyageur algérien soit aligné sur ses voisins marocains ou, au moins, tunisiens.