«Le spectacle déplorable de la déchéance, non pas d’un homme, le président de l’APN (…), mais de toutes les institutions républicaines, révèle, à l’évidence, que l’État algérien est en pleine déconfiture», écrit «Jil Jadid» dans un communiqué rendu public samedi.
Pour ce parti, la sécurité nationale est désormais mise en péril, puisque «la guerre des gangs s’amplifie et plus rien n’est préservé: Présidence de la République, APN, gouvernement, partis politiques, Armée…».
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Il estime à cet égard qu’au-delà des graves entorses faites à la loi par des députés «hommes-de-mains, pour certains de purs malfrats qui auraient dû être derrière les barreaux», la crise à la chambre basse du Parlement «accélère la dégénérescence d’un régime illégitime et foncièrement maléfique».
«L’histoire jugera sévèrement les hommes de ce pouvoir dont l’égoïsme, le narcissisme, la médiocrité et la cupidité auront défié l’entendement, au point d’avoir consommé à leur profit, tout le capital symbolique de la Nation», déplore le parti de Soufiane Djillali.
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